Chapitre 1602

A cette scène, Arsène et Claudia dans la voiture ont été sous le choc!

Arsène a avalé sa salive puis s’est exclamé :

-Bon sang. Ce mec est trop fort!

Les yeux écarquillés, Claudia a dit

– En effet Il semble que je l’ai sous-estimé…

Ayant battu tous les gardes du corps, Clément s’est dirigé vers Kagetoki qui était si effrayé que ses jambes sont

devenues trop molles pour s’enfuir Bien sûr, il savait aussi que cet homme devant lui ne lui donnerait aucune

chance de s’enfuir de ses mains.

Sans d’autre choix, Kagetoki a crié avec horreur

– Qu’est-ce que vous voulez ? Ecoutez bien, je suis le jeune maitre des Umezawa!

Clément s’est approché et a giflé Kagetoki durement au visage.

Je me fiche de votre statut hein. Parlons des deux bras que vous me devez !

Kagetoki a été étourdi par la gifle.

Jamais un petit prince comme lui ne subissait une telle humiliation d’être giflé en public!

La main couvrant sa joue gonflée, il a crié avec les dents serrées :

– Espèce de bâtard! Comment osez-vous me frapper ?! Je vous enverrai en enfer, croyez-le ou non!

L’air dégoûté, Clément a tapoté son visage en menaçant

– Ce n’était qu’un avertissement, mais vous me devez deux bras.

Cela dit, sans lui donner le temps de répondre, Clément a directement saisi son poignet et l’a tordu d’un coup. Puis,

avec un fracas, le bras droit de Kagetoki a été cassé à partir de l’articulation du coude.

Mon dieu… Ça fait mal! a pleuré Kagetoki de douleur.

Insensible de sa misère, Clément a dit :

Ce n’est pas fini hein. Allez, tendez votre main gauche !

Tremblant de douleur, Kagetoki avait un visage tout pâle. C’était à ce moment-là qu’il s’est vraiment rendu compte

que Clément était sérieux à ce sujet.

Très effrayé, il s’est mis à genoux en pleurant et suppliant.

– Monsieur, excusez-moi et pardonnez-moi! Je n’aurais pas dû me quereller avec vous ! Veuillez épargner mon bras

gauche s’il vous plaît…. Clément a dit avec indifférence:

– Vous auriez dù le savoir au moment où vous m’avez provoqué. De plus, pensez-vous que je vous pardonnerais si

vous me suppliez ? Kagetoki a été étourdi.

Il ne pouvait pas accepter le fait que Clément allait vraiment lui priver deux bras; dans ce cas, même s’il se

vengeait à l’avenir, cela ne sauverait pas ses bras

A cette idée, il a éclaté de sanglots et a supplié avec horreur :

– Monsieur, je peux vous donner une grande somme comme récompense, qu’en diriez-vous cent millions de yens?

Tant que vous l’acceptez, je ferai transférer de l’argent !

– Arrêtez de parler de ces choses inutiles, a dit Clément avec froideur, même si vous me donnez cent millions de

yens, vous ne pourrez pas garder ce bras.

A ce moment-là, Claudia ne pouvait plus supporter regarder le spectacle:

– Arsène, nous ne pouvons pas rester les bras croisés.

– Tu veux t’impliquer ? a dit Arsène, tu es dingue ? Tu as bien vu à quel point ce type est fort! Et s’il te bat aussi ?

Claudia a déclaré sérieusement:

Je vais le raisonner, sinon nous laisserions aux Umezawa une mauvaise impression.

Oh, non! La sécurité compte le plus !

Arsène a encore voulu l’arrêter, mais celle-ci a déjà ouvert la portière pour sortir!

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