HOMME INACCESSIBLE Novel
Chapter 2441

Chapitre 2441

Les mots d’Edmond l’a fait hésiter.

Clément ne savait pas vraiment comment faire face à la fille d’un ennemi et à une femme qui aimait son père

depuis des années. Pourtant, il était temps pour lui de les rencontrer, mais il ne savait pas encore si c’était le

meilleur moment.

Voyant Clément hésiter, Edmond lui a conseillé :

-Puisqu’il faut se rencontrer tôt ou tard, autant le faire plus tôt. Maintenant que Mme Claudia est sous notre garde,

elle ne se sent pas à l’aise si vous ne la rencontrez pas. Dans ce cas, votre arrivée pourrait la rassurer et lui

permettre de rester ici tranquillement.

Clément a dit avec indifférence :

Bien sûr que je vais la rencontrer, mais ce n’est pas le bon moment.

Édmond a demandé :

– Vous attendez une occasion?

Clément a secoué la tête :

– J’attends Igor.

Édmond a demandé :

–

– Vous attendez Igor?

Clément a répondu froidement :

-Oui, j’attends qu’il vienne à la Cité J. S’il ne vient pas, je l’amènerai moi–même !

A ce moment–là, Clément s’est levé et a dit,

Et après la venue d’Igor à la Cité J. je l’emmènerai à la tombe de mes parents! S’il n’est pas directement lié à la

mort de mes parents, je lui ferai faire onze courbettes; s’il y est directement lié, je lui ferai payer sa vie devant la

tombe de mes parents!

A 18h30, Mathieu est arrivé en voiture à la maison des Chappuis, accompagné de son fils ainé, Noé.

Lorsque la voiture est arrivée au domaine, il a été accueilli personnellement par Ansuan, le majordome, qui lui a dit

poliment :

Mathieu, M. Noé, le maître vous attend déjà dans la salle de réception, veuillez me suivre.

Mathieu était un peu inquiet, il ne venait pas pour diner avec Alceste mais pour faire une mission sous l’ordre de

Clément.

Mathieu n’osait pas offenser Clément, qui était très compétent et pouvait tuer les Huit Maitre d’un seul coup, ni

Alceste, le chef de la plus

puissante famille du pays, ce qui expliquait qu’il soit nerveux et effrayé. Mais il était clair aussi que Clément était

celui qu’il ne fallait surtout pas offenser. Il devait donc agir sous son ordre.